Dans la cosmologie Shandarienne, l'espèce humaine n'est qu'une espèce parmi des milliards de milliards d'autres vivant dans l'univers. Ce qui implique que l’humain n’est pas le centre ni la totalité de l’univers. Il n’y a donc pas d’universalité de l’homme. L’humain n’est pas au sommet de l’évolution. Ce qui exclut le spécisme plaçant l’homme au dessus de toutes les autres espèces. L’humain n’est pas sacré ni de source divine, mais stellaire, car il a été crée à partir de poussière d’étoile présentes ce présent système stellaire, Solaria. De ce fait, l’humain ne peut prétendre à une quelconque immunité, traitement de faveur ou de passe-droit sur les milliards de milliards d’autres espèces vivantes.
Le créationnisme, qui n’a rien avoir ici avec Dieu et son œuvre, est la création et l’implantation d’espèce primitives par d’autres espèces plus avancées sur différents planètes et systèmes stellaires, celle-ci y comprit. L’évolutionnisme est l’évolution par adaptation des espèces à leurs environnements précédemment implantées à travers la voie du créationnisme. Mais aussi par des mises à jours de faites par les autres espèces plus avancées responsable de cette implantation. Ainsi le créationnisme génère l’espèce et l’évolutionnisme met à jour l’espèce générée afin de l’adapter à son écosystème. A partir là, les essences de vie et leurs consciences peuvent venir s’incarner et se réincarner de façon successive dans des corps biologiques à chaque fois adaptés leurs nouveaux niveaux d’évolutif acquit. Créationnisme et évolutionnisme ne sont nullement opposés, mais complémentaire dans leurs actions assurant ainsi l'existence d'une espèce et de sa continuité sur les lignes du temps.
L'eugénisme est l'ensemble des sciences et technologie de la maîtrise du vivant. Il est un moyen d'optimisation du corps d'incarnation de la conscience non pas pour devenir un être supérieur dans un délire égotique, mais par nécessité adaptative et évolutive. Toutefois ce dernier doit être mener avec science, conscience et intelligence et non avec ignorance, inconscience et stupidité en prenant en compte et en respectant le temps, la nature, son écosystème et ses lois. Le transhumanisme est une conception primitive et archaïque de la maîtrise du vivant. En effet, la maîtrise du vivant doit prendre en compte le respect des limites physiologiques, son intégration dans l’écosystème ainsi que les conséquences des ces modifications génétiques sur le long terme. Sinon, il y a entropie et chaos avant l’extinction de la vie. Or, le transhumanisme ne tient nullement compte de cela. Il se base exclusivement sur les désirs égocentriques de l’homme, son infantilisme, son ignorance et sa croyance illusoire à pouvoir contrôler la nature selon ses envies. De ce fait, le transhumanisme est hautement dangereux et destructeur tel qu’il est actuellement pensée et conçu.
Le racisme, le racialisme ainsi que le spécisme n'existent pas dans la pensée shandarienne, car ils ne sont que la conséquence de l'état de dormance et d'ignorance de l'être. Un état se manifestant par un manque de conscience et de connaissance de la réalité de l'incarnation. En ce sens, lorsqu'on est réveillé et éveillé on voit et on comprend la réalité de la nature véritable de ce que l'on est de de son corps d'incarnation. Ce qui a pour conséquence qu'on réalise la fausseté du racisme, du racialisme et du spécisme. On lâche prise pour finalement abandonner naturellement de ces conceptions erronées et destructrices.
Dans la pensée shandarienne, l'être humain résulte de l'incarnation d'une essence de vie et de sa conscience dans un corps biologique appartenant à l'espèce humaine. Cette incarnation a pour but d'accomplir une mission de vie qui contribue à la fois à l'évolution de la conscience incarnée et à l'amélioration du corps humain par l'action et l'influence de l'épigénétisme. Ces améliorations épigénétiques sont ensuite transmises à sa descendance. Grâce à cette transmission, les progrès acquis par une génération peuvent bénéficier aux suivantes, participant ainsi à l'évolution biologique de l'espèce humaine. Ces améliorations se diffusent à travers les générations, favorisant une évolution continue, positive et écologique de l'espèce humaine à travers le continuum espace-temps.
Dans la pensée shandarienne, la place de l'humain dans l'univers ne se définit ni par les désirs de son ego, ni par les délires de son mental, ni par une quelconque idéologie, croyance ou valeur préétablie. Elle se fonde sur sa moira ainsi que ses capacités, compétences et habilités à apporter de la valeur au cosmos. Dans ce sens, l’accomplissement de la moira et des compétences nécessaire à cette entreprise définissent sa fonction de l’humain dans l'univers et sa fonction définit sa place. Il n'y a donc pas de place prédéfinie de l’humain. Cela implique une démarche active et orientée vers le bien commun, où l'humain se distingue par ses actions et son impact réel plutôt que par ses aspirations personnelles ou ses convictions abstraites. C’est une vision pragmatique et utilitariste de l'existence humaine, axée sur la valeur ajoutée que chacun peut créer pour mieux servir l'ensemble du cosmos.
L'humanisme n'est rien d'autre que de l’anthropocentrisme qui place l'humain au dessus de toutes formes de vie. Il rompt ainsi son lien avec la nature et plonge dans l'illusion d’être Dieu. Se coupant de la Source de vie, il devient aveugle, amnésique et ignorant de sa raison d’être dans le cosmos et de l’accomplissement de son être. Il produit ainsi des pensées, attitudes, comportements et agissements allant à contresens de l’ordre naturel de l’univers et des lois du cosmos. L’homme humaniste devient ainsi une source de destruction de la vie et de chaos à travers ses pensées et agissements contre-nature et illicites. De ce fait, l'humanisme est incompatible avec l’univers et la vie dans l’univers.
Être au service de l'homme: Être au service de l'homme c'est à être au service de son égo et de son mental. Être au service de l'égo et du mental revient à être au service de l'obscurité. Car l'homme est un dormeur qui n'a pas conscience ni connaissance de la nature. Il a les yeux fermé et donc, reste dans l'obscurité croyant être dans la lumière. Son égo le pousse a croire le contraire, mais ce n'est qu'un mensonge et une illusion pour le conforter dans ses positions.
Dans le Shandarisme, les droits de l'homme sont considérés comme un produit de l'humanisme utilisé dans le seul but de glorifier l'homme en lui accordant un statut de droit de quasi-divinité, mais également de servir de prétexte pour l'ingérence dans les affaires d'autrui, la destruction des civilisations et cultures et la domination des autres peuples. Dans ce sens, les droits de l’homme sont perçus comme toxique et négatif , allant à l'encontre de la nature et de ses lois, n'apportant strictement rien à la réalisation et l'évolution de la conscience. C'est pour ces raisons que le Shandarisme rejette les droits de l'homme en leurs préférant les droits de l'incarnation. C'est à dire accorder des droit fondamentaux nécessaires à l'incarnation et à son accomplissement incluant le droit à la vie pour la présence de l'incarnation, le droit aux ressources pour l'existence et l'accomplissent, le droit à la liberté d'expression afin de disposer d'un espace vibratoire suffisant pour s'accomplir et le droit d'accomplissement pour la réalisation de la Moira.