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1.Les relations sociales

Dans le paradigme de conscience shandarien, les relations sociales sont des connexions à la fois psychiques et vibratoires entre les consciences incarnées située dans une société et civilisation de l'univers. Leurs fonctions est de communiquer et d'échanger de l'information et de l'énergie servant de ressources pour l'existence de l'ensemble des incarnations, ainsi que pour les réalisations, l'accomplissement et l'évolution de ces dernières.

Amis:: Les amis sont des consciences incarnées ou non avec lesquelles des liens psychiques, émotionnel et vibratoires sont créée. A travers ces liens et leurs présences, ils participent aux expériences de conscience et accomplissements de moira commune. Puis une fois leurs fonctions arrivées à terme, ils s'éloignent naturellement de nous pour partir sur leurs propres lignes évolutives de conscience.

Individus à éviter: Dans le Shandarisme, il existe des personnes à ne pas fréquenter qui sont: 1) Les personnes sans valeurs, sans parole ni éthique. 2) Les personnes toxiques et négatives. 3) Les voleurs et les violeurs. 4) Les personnes violentes et instables 5) Les personnes dépendantes à l'alcool et aux drogues. 6) Les personnes sous l'emprise de créature de kesh et 7) Les anti-shandariens.

2.Attitudes & Comportements

Durant cette incarnation, il est nécessaire de penser, agir et être en congruence avec ce que l'on est véritablement sur un plan intérieur à soi, mais aussi avec notre environnement sur le plan extérieur. Pour ce faire, la guidance mineure ou l'intuition permet de savoir quoi faire et quant le faire. De cette manière nous demeurons en harmonie et en unité avec l'existence , la vie et l'univers dans une cosmoéthique appliquée.

3.Aider et soutenir la vie

Dans les relations sociales, l'action d'aide et de soutien de la vie est une nécessité primordiale et essentielle. Car elle permet de maintenir et d'entretenir l'existence de nos incarnations, actions et réalisations nécessaire à notre évolution de conscience vers la Source de vie, mais aussi de participer à l'épanouissement de la fleur de vie du cosmos. Ces actions d'aide et de soutien de la vie consistent dans une entreprise de création et d'amélioration de la vie par l'expérience et l'observation. Elles portent ainsi sur la construction et l’évolution des essences de vie, de leurs consciences ainsi que de la génétique de leurs réceptacles biologiques en respectant l'ordre naturel de la vie, de l'univers et des lois du cosmos.

Altruisme: L'altruisme est une question à la fois fonctionnelle et évolutionnelle. En effet, que l’on soit shandarien ou non-shandarien, nous sommes tous les cellules d’une même conscience et essence de vie plus grande. En aidant les autres, nous aidons les autres parties de nous-mêmes à s’élever. Ce qui a pour conséquence d’accélérer notre propre évolution vers les plans supérieurs du cosmos. Lorsqu’il y a une aide altruiste d’origine shandarienne, on donne le coup de pouce, puis on repart aussitôt sans demander notre reste. Autrement dit, on ne reste pas là à la recherche d’une gratification de l’égo. Cela permet ainsi d’éviter toute présence prolongée qui pourrait influencer de manière toxique et négative l’accomplissement des êtres incarnés.

4. Familles & couple, enfants

Dans le Shandarisme, nous avons 2 familles qui sont l'essence collective qui est notre famille d’âme et la famille d'incarnation qui est la famille dans laquelle nous nous incarnons. Parfois les 2 familles ne font qu'un, parfois non. L'essence collective est la structure psychique et vibratoire d'existence de nos essences de vie et consciences, elle fournit l'environnement et les ressources à notre existence essentielle (spirituelle). La famille d'incarnation quant à elle est la structure d'insertion de nos incarnations dans la société et la civilisation. Elle fournit les bases de la socialisation, assure la stabilité et la sécurité, forme l'identité personnelle, et aide à naviguer dans les changements sociaux. Elle fournit les bases à l'accomplissement de la Moira. Dans ce sens, les 2 familles ne sont pas sacrées, mais essentielles pour notre raison d'être. Nous ne devons pas les rejeter. Sinon nous nous privons de ressources fondamentales à notre présence et évolution.

Le couple se compose de deux incarnations connectées et liées par un lien psychique et vibratoire. Ensemble, ils forment une unité de base mentale et énergétique qui remplit pour l'incarnation des fonctions essentielles sur les plans psychologique, social et anthropologique. Sur le plan psychologique, il offre soutien, sécurité et développement personnel. Socialement, il contribue à la cohésion et à la stabilité de la société en formant des unités familiales et en socialisant les enfants. Anthropologiquement, il assure la reproduction, la transmission culturelle et l'adaptation des structures sociales. Sur le plan essentiel, le couple est une unité expérientielle pour la conscience, son accomplissement et son épanouissement. Le véritable couple a pour socle la fusion mentale entre les 2 essences et consciences qui le compose. Ainsi, si il n'y a pas de fusion mentale et de connexion télépathique profonde, cela n'est pas considéré comme un véritable couple.

Formation des couples: On doit suivre le cours naturel des événements sans interférer. Ainsi si 2 personnes doivent se rencontrer pour ensuite se mettre en couple, leurs moi supérieurs s'accorderont naturellement pour que la rencontre ait lieu et que le couple se forme par la force des choses. De ce fait, nous n'avons nul besoin d'intervenir pour former les couples en jouant les cupidons.

Parent-Enfant: Dans la pensée shandarienne, parent, enfant, grand-parent, petits-enfants ne sont que des rôles d'incarnation que nous jouons dans le grand théâtre de l'univers. Ils font suite a un contrat d’âme mutuel afin que chaque essence impliquées puisse accomplir sa moira. Puis une fois de retour dans la lumière, le contrat arrive à son terme et chacun retrouve sa véritable places et relations dans le cosmos. Ainsi les enfants sont des consciences incarnées avec les enveloppes biologiques procréer par les parents. Lesquels fournissent ensuite un foyer , une éducation, des liens affectifs et sociaux afin que la conscience incarnée puissent accomplir sa moira dans le cadre de ce contrat d’âme.

5. mariage & divorce

Dans le Shandarisme le mariage appelé ici alliance se réalise à travers le rite d’alliance. Cependant, ce dernier n'est pas une obligation, car tout dépend du programme d’incarnation. Ainsi si votre programme incarnation prévoit le scellement d’une alliance, alors il y en aura une. Autrement, il n’y en aura tout simplement pas! Sur le chemin des étoiles, il existe 2 types d’alliance selon leurs temporalités qui sont les alliances permanentes et les alliances temporaires. La dot comme la lune de miel n'existent pas dans le Shandarisme. Les alliances plurales (polygamie et polyandrie), consanguines et d’enfants sont strictement interdites par la loi shandarienne. Le divorce appelé ici désalliance se pratique à travers l’acte de désalliance ne peut être accomplit qu’à travers le rite inversé d’alliance. Cependant, le divorce ne concerne que les alliances permanentes. En effet, les alliances temporaires expirent d’elle-même au terme de la durée prédéfinie par le couple. De ce fait, il n'y a nul besoin de divorce pour une alliance temporaire.

Veuvage: Le shandarien veuf ou la shandarienne veuve doit observer une période de viduité afin qu’il ou elle puisse accomplir la libération et le détachement complet à la fois psychologique et émotionnel des liens psychiques et vibratoire qui le/la rattachait à son ancien épouse/époux décédé. Il n’y a pas de durée fixée à la période de viduité. Cette dernière ne durera que du temps qu’il faudra au veuf ou à la veuve de complètement se libérer de ces anciennes attaches psychiques et vibratoires. La pratique du veuvage et de sa période de viduité commence après la restitution du corps à l’univers. Durant cette période de viduité, le veuf ou la veuve est complètement exempté des pratiques shandariennes afin qu’il ou elle puisse totalement se consacrer à cette libération. Il n’y a pas de couleur vestimentaire particulière à porter, pas d’ablutions particulières à faire ni de pratique alimentaire précise à observer durant cette période. Enfin, cette période de viduité prendra fin lorsque le veuf/veuve sera complètement libéré de ses anciens liens et apte a continuer son incarnation.

Orphelin & adoption: Dans le Shandarisme, les enfants shandariens dont les parents sont décédées sont prises en charge et protéger par le collectif. L'adoption est également autorisée dans le shandarisme.

6. Mixité homme-femme

Dans les shandarisme, hommes et femmes ne se mélangent pas. Ils sont séparés afin de conserver leurs identités, leurs masculinités et féminités respectives. Dans ce sens, les hommes doivent rester des hommes et les femmes, des femmes. Ils se rejoignent pour se mélanger seulement lorsqu'ils sont en famille ou lors des assemblées et des activités communes du cercle.

7. Liberté & Esclavage

Dans la pensée shandarienne, La liberté est importante, car elle crée un espace et une dimension permettant de vivre ainsi qu'accomplir notre Moira. Ce n’est donc pas une question de croyance ou de valeur humaniste, mais une nécessité physiologique et essentielle (spirituelle). Cependant cette liberté est en réalité toute relative. Car elle est conditionnée par nos limitations physiologiques (fatigue, faim, soif, etc), l'application des lois de la physique (l'action naturelle de la gravité sur nos corps,etc), l’éducation reçue et la société ainsi que par notre propre programme d'incarnation. Dans ce sens, la liberté ne veut pas dire « être libre de faire ce que l’on veut », mais être libre de faire ce que l’on doit faire pour se réaliser et s’accomplir selon notre Moira.

Le libre arbitre: A l’instar de la liberté, le libre arbitre ne veut également pas dire faire ce que l'on veut, mais être libre d'arbitrer et donc de choisir entre 2 choix ou plus se présentant à nous selon ce qui est programmé pour cette incarnation. Faire ce que l'on veut, c'est être prisonnier et esclave des désirs de l'égo en croyant illusoirement être libre.