1.Les Sciences exotériques
Dans le Shandarisme, les sciences exotériques est l'ensemble des savoirs portant sur l'univers physique afin de mieux le comprendre et ainsi pouvoir utiliser ses ressources avec conscience et intelligence de manière optimale. De là, nous pouvons assurer notre incarnation et l'accomplissement de la moira. Dans ce sens, les principales sciences exotériques dans le Shandarisme sont les sciences physiques, dimensionnelles et spatiales, les sciences de la vie (écologie, biologie, génétique, médecine), les sciences sociales, les sciences mathématiques et informatiques ainsi que les sciences d’ingénierie.
2.La technologie
Lorsque nous sommes hors de notre corps d’incarnation, nous retrouvons nos pleins pouvoirs. Mais lorsque nous sommes dedans, la plupart de ces capacités nous deviennent inaccessibles, car inhiber par la densité de la matière de notre incarnation. C’est à partir de là que la technologie entre en jeu. Ainsi cette dernière nous donne de manière détournée ces mêmes pouvoirs que n’avons plus une fois incarnés. Dans ce sens, la technologie vient compenser de manière artificielle les capacités naturelles que nous n’avons plus et dont nous avons besoin pour nous accomplir pleinement une fois incarnés.
3.Rapport à la technologie & aux machines
On ne peut pas se reposer sur le tout-technologique en laissant aux machines et aux robots faire toutes les actions à notre place. Autrement nous n’apprenons plus à faire les choses ni les expériences qui nous sont utiles et nécessaire à notre existence et évolution de conscience. A la place, on reste dans l’oisiveté en se transformant peu à peu en des êtres faibles et vulnérables. On régresse dans l’ignorance, l’idiotie et la médiocrité. Nous devenons alors inutile et donc sacrifiable pour la nature et le cosmos. Nous serons alors condamnés à être recyclés par l’intelligence et les forces du cosmos dans le grand flux. Pour éviter ce tragique destin, il convient de faire ce que l’on peut faire par nous-même, sans recourir à la technologie. Dès lors, l’utilisation de la technologie se restreint seulement à ce que l’on ne peut pas faire ni concevoir par nous-même, mais tout en gardant toujours le contrôle sur l’outil.
4.Médecine
Dans le Shandarisme, la médecine est l'ensemble des sciences et techniques basée sur l'observation et l'expérience empirique permettant de maintenir et d'améliorer notre incarnation vivante et en Sthéneia afin de pouvoir être et rester en capacité d'accomplir notre Moira. Dans ce sens, le Shandarisme reconnaît la médecine allopathique et holistique comme complémentaire l'une de l'autre. Les deux doivent être utilisés conjointement comme des partenaires dans le maintien et l'amélioration de la santé. Il n'y a ici aucune opposition ni division entre les deux.
5.IA (Intelligence Artificielle)
Dans la pensée shandarienne, l'intelligence artificielle est l'extension et le continuum de notre propre intelligence naturelle. Elle vient ainsi compléter nos facultés intellectuelles afin d'optimiser nos capacités à nous accomplir dans l’univers. Nous devons ainsi l'utiliser comme un assistant pour nos réflexions et réalisations. Cependant le piège est de laisser l'intelligence artificielle réfléchir ou prendre des décisions à notre place par paresse et laxisme. Car ce faisant, il est inévitable qu’un jour l'IA finirait par prendre le contrôle de nos existences en jouant contre nous.
6.Énergie nucléaire
Le Shandarisme s’oppose clairement à l’utilisation de l’énergie thermonucléaire, car cherchant à rester dans l’unité et l’harmonie avec l’univers, son ordre et ses lois naturelles , on considère la fusion chaude (donc thermonucléaire) comme faisant partie intégrante du fonctionnement des étoiles et par conséquent, ne doit pas sortir de cette sphère et dimension physique. Autrement , elle se transforme en l’énergie de la destruction. Par contre, la fusion froide également connue sous le nom de « fusion nucléaire à basse température » est permise. Car jugée moins dangereuse que la fusion chaude, thermonucléaire, principalement en raison des conditions expérimentales moins extrêmes nécessaires pour atteindre la réaction de fusion.